Laurène Balganon
« Je trouve le quotidien incongru et violent.
J’ai du mal à comprendre ce que je reçois du monde. Les rôles et les travaux qui me sont proposés sont abrasifs.
Comment reprendre la main ?
Sans médium de prédilection, mais avec de l’affection pour l’écriture, les objets, le bricolage […], je produis chaque jour avec ce que je trouve à mâcher.
L’espoir est dans chacune de ces tentatives, parfois dérisoires.
L’espoir de questionner la société dans laquelle nous sommes englué.e.s,
l’espoir de percevoir des façons de la battre en brèche,
l’espoir d’inventer de nouvelles manières de jouer la vie. »